lundi 5 avril 2010

Remerciements


A Shweta, la jeune femme indienne qui m'a accueillie à Dehli, à Sanny, commerçant joviale qui a adoré mon chapeau et m'a offert un mémorable diner dans son échoppe accompagné d'un de ses amis qui s'est improvisé chanteur, au conducteur de Rickshaw à Agra qui m'a fait décourvrir le backside de la ville (j'ai pas dit backroom !), à Ravi qui m'a raméné à mon hotel et qui m'a valu le "don't trust anyone, don't trust me" du vieux monsieur de Varanasi, au Sikh philosophe me faisait partager ses délires sur les fluides humains, à Alone, jeune homme israélien improvisant un concert de guitare on the roof top du "New" Vishnou hotel, à Massi et Yana, un couple italo-israélien allant et venant entre l'Italie et l'Inde pour faire du commerce comme beaucoup à Pushkar, à Mie, jeune femme japonaise parcourant l'Inde pendant 3 mois afin d'apprendre à cuisiner, à Cath, femme anglaise photographe, à Eric qui va enfin poser ses bagages en France au bout de 25 ans de voyages, à eux qui ont constitué ce petite cercle cosmopolite avec qui j'ai partagé une semaine à Pushkar au Shrya guesthouse hotel, à Aziza et Ameer, un couple hollandais d'origine indienne, sans oublier le crémier, le vendeur qui m'a accompagné durant the new year (chaque jour un des castes fête sa nouvelle année), à Ram, le jeune homme du café qui m'a appris quelques mots d'hindi, à Paul, le français apprenti bijoutier, à Chintu, le bijoutier qui a parcouru la France, à Kathleen et François, le couple de canadiens parcourant l'Asie en 4 mois rencontré à Jaipur au Sunder Palace, au Baba qui a vu mon aura, trouvé ma couleur préférée et m'a revelé que j'étais smart but crazy (non sans déconner !), au funny mosquito qui m'a ramené au centre de Jaipur, à Omar, l'exhubérant rickshaw souhaitant me proposer une course gratuite contre un diner (et la marmotte ...), à la vieille dame française qui malgré sa santé retourne en Inde depuis 20 ans, à la dame indienne dans le bus qui lorsque je lui demandais ce qu'elle pensait de son pays me répondit "I belong to this country" et me faisant gentillement comprendre (comme bien d'autres) qu'il n'était pas possible de critiquer son pays sauf un : Moussa à Delhi qui résuma l'Inde en trois mots : "pollution, population and corruption" équivalent au politiquement correct : "Incredible India" ou "That's India" quand les mots ne peuvent expliquer l'inexplicable ou bien que justement si "all is possible in India", à tous les rickshaws qui m'ont valu des gentilles frayeurs en zigzaguant entre les voitures et à tous les autres qui ont traversé mon chemin et qui ont fait que ce voyage en Inde a été unique ! et bien sur merci à vous qui me lisez et m'accompagnez durant mon périple. La suite des aventures en Thailande !!!

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